Assassin's Creed: Revelations (2011)

Assassin's Creed: Revelations (2011)

Résumé

Ezio est maintenant âgé de 53 ans, et au terme de sa quête d'Assassin, il recherche les secrets du grand maître assassin Altaïr se situant dans la bibliothèque de la forteresse de Masyaf. Cependant, il y découvre l'entrée d'une pièce secrète contenant une relique qui pourrait renverser les forces dans son combat contre le Templiers ; il se rend à Constantinople (l'Istanbul moderne), alors capitale de l'Empire Ottoman dominant la Cappadoce, pour retrouver les cinq clés qui ouvriront le repaire. En parallèle, dans l'époque moderne, Desmond reprendra son histoire là où elle s'est terminée dans le jeu Brotherhood, et tentera de reprendre conscience dans un mode de fonctionnement spécial de l'Animus appelé Black Room.

 

BANDE ANNONCE

 

AVIS D'INTERNAUTES

S'il y a bien une chose que j'ai retenu dès le départ avec Brotherhood et Revelations, c'est que ces opus ne sont pas Assassin's Creed 3. Du coup les révélations... Je m'en balance sévère. Tout ce qui concerne la partie science-fiction de la trame sert a faire bander le geek naïf qui pense que tout à du sens, à l'instar de la série Lost. Les soi-disant réponses à toute cette histoire servent surtout a poser l'intrigue pour le 3. C'est un titre plus marketing qu'autre chose, rien de plus. Pas mal de fans ont trop espéré, trop attendu.nnJe voulais seulement une conclusion épique aux aventures d'Ezio. nAu final, le jeu fait encore mieux et parvient même à me faire aimer Altaïr, personnage que je trouvais plutôt vide dans le premier Assassin's Creed. Volet que j'ai détesté d'ailleurs. Et là, suivre son parcours, le voir vieillir, souffrir, aimer et se battre pour ce qu'il entreprend jusqu'à la fin de sa vie est réellement touchant. Là, je l'ai enfin trouvé d'un charisme incroyable. Il a toute ma bénédiction maintenant, depuis l'annonce du jeu avec le fameux trailer, je me disais bien qu'il allait faire un retour en force. Dommage qu'on ne puisse pas jouer avec lui trop longtemps. Toutes ses apparitions sont superbes. Il est pour moi la véritable révélation de toute cette aventure. nnOn reste en terrain connu en matière de gameplay. La ville de Constantinople possède beaucoup de charmes. Les nouveaux modes de jeux cassent pas trois pattes a un canard mais il y a de quoi s'amuser de nombreuses heures. Les combats sont un chouïa plus dynamiques qu'avant, plus violents aussi et on ressent un peu moins le système de "l'ennemi qui fait la queue en attendant son tour".nnLa partie Desmond est toujours aussi daubée au niveau de l'histoire mais ses phases de jeu sont intéressantes, ainsi que l'espèce de mini-jeu qui fait un peu penser a Tron et Portal où l'on apprend un peu plus sur son enfance, sa vie et ses tourments restent une bonne idée.nnDommage qu'Assassin's Creed 2 et Brotherhood aient mis la barre très haut, ce qui m'empêche de lui donner plus car par moments, surtout au début, je jouais sans être réellement immergé par ce qui se passe. Si on aime les personnages d'Ezio et Altaïr et que l'on joue juste pour leur épopée et rien d'autre, alors je dirais que le jeu est aussi indispensable que n'importe quel épisode. nnC'est la conclusion parfaite à mes yeux. L'épisode de la maturité en ce qui concerne le duo, leur traitement est mise en exécution de façon remarquable. C'est ça que je garde en mémoire, c'est ce qui fait la force de cet épisode. nnIl n'y a que ça qui compte.